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Au pays de la papaye, de la breizhonnie et de l'homme vert
6 février 2006

Croatie, du dépaysement à 2 pas de chez vous..

Itinéraire de notre périple en van aménagé de Marseille à Dubrovnik (janvier 2006)

28.12.2005 – départ de Marseille via Toulon et Mandelieu pour déposer le chat chez marie ! Ce n’est pas qu’on ne voulait pas l’emmener mais 10 jours dans 5 m3 faut être humain pour supporter ça !

29.12.2005 – vrai départ pour la Croatie mais avant de l’atteindre il faudra traverser l’Italie enneigée et la Slovénie sur-enneigée.

L’autoroute italienne est assez pratique, on peut traverser tout le pays (en tout cas d’ouest en est) en ne s’arrêtant qu’à deux péages (l’équivalent pour 10 km d’autoroute entre cannes et Nice !) mais là il y a facilement 500 km.

N’étant pas plus pressés que cela et préférant roulé la journée (histoire de voir le paysage), on décide de passer la nuit en Italie sur la côte, près de la presqu’île de Grado, dîner en ville dans un charmant bar à vin. Le choix du couchage fut moins chanceux puisqu’on a atterri près d’une décharge mais jusqu’à 6 h du mat ça ne nous a pas dérangé… et puis en fait la décharge était plutôt bien située aux bords de jolis étangs pleins de canards et de cygnes ! Comme quoi, tout inconvénient à ses avantages !

Première nuit test fort réussie puisqu’on n’a même pas sorti les duvets malgré un petit -7 °C au petit matin (dehors pas dans le van !). Pour nous, on rajoute 11°C, certes vous me direz que ça ne fait que 4°C, mais c’est surtout l’amplitude qui compte !

30.12.2005 « Hvraska, nous voilà »

Bizarrement, on a préféré aller prendre le petit déj ailleurs ! et quoi de plus sympa qu’une vue sur les falaises méditerranéennes avec pleins que matous pour nous tenir compagnie, eux aussi se réveillaient et n’étaient pas encore trop en forme ! On part pour Trieste, dernière grosse ville italienne avant la frontière slovène, plutôt jolie dans le centre avec de vieilles maisons style austro-Hongrois, version Sissi l’impératrice ! On arrive tant bien que mal à s’extirper du centre ville pour trouver le bon accès à la Slovénie, la neige nous rejoint sur les hauteurs et ne nous quittera pas avant un certain nombre de jours. La Slovénie semble très paisible, peu de véhicules (peut être que le mètre de neige fraîchement tombé y est pour quelque chose ???), on ne s’y arrête pas, faute de temps.

Notre première ville croate sera Rijeka afin de tirer des sous locaux : le KUNA. Le change est assez simple puisqu’un kuna équivaut à peu près à 1FF et donc pour 1euros vous avez à peu près 7 kuna ! trop facile ! Bref, on ne s’attarde pas dans ce gros port pas très accueillant. Nous repartons sur l’autoroute (toute neuve et peu cher (en général 10 à 30 KUNA)) direction le Parc Naturel National de RISJNAK. Quitté l’autoroute, la route est fortement enneigé, nous testons la conduite du van sur neige ! Niko avait bien envie de tester le dérapage mais avec moi à côté accroché à la ceinture de sécurité en train de hurler, « doucement, pas trop vite, oh là là ça glisse » ! j'étais quelque peu stressé ! Faut dire que la conduire sur neige n’est pas notre spécialité (vous avez déjà vu une route enneigé vous en Bretagne ! mouaif, une fois tous les 10 ans !) On a même fini par mettre les chaînes (qu’on avait spécialement acheté pour le voyage) malgré les remarques des locaux qui nous disaient que ce n’était pas la peine pour aller jusqu’à l’entrée du Parc ! Mais bon ! prudence prévaut ! Nous finissons donc pas arriver à l’entrée du Parc qui ne semble pas débordé de visiteurs, trois/quatre voitures sur le parking… Il est 13h nous n’avons pas mangez et demandons un sandwich au jambon de pays pour 20 KN, puis décidons de parcourir le fameux sentier LESKA avec nos raquettes. Les responsables du parc ne veulent même pas nous faire payer l’entrée car ils pensent qu’il y a trop de neige ! Pas pour nous, qui équipé de nos pantalons de snow, de nos raquettes et de l’indispensable trio bonnet/gants/écharpe, partons sur les traces des lièvres et autres habitants du secteur… Aucune traces d’humanoïdes repérables, une marche fatiguante dans 50 cm de poudreuse mais tellement belle sous le soleil ! Nous rentrons à la nuit tombée après s’être vaguement perdu faute de sentier reconnaissable sous la neige !

Un petit aménagement du van s’impose pour notre deuxième nuit ! Les vêtements quelque peu humide des roulades dans la neige sécheront sur les cintres eux même positionné sur des tendeurs, d’autres tendeurs disposés un peu partout (grâce à des crochets à vis que nous positionnons dans les lattes de bois qui tiennent l’isolant) nous permettent d’accroché les sacs à dos, les gants…

Une pause scrabble/chocolat/bière au chaud dans l’hôtel s’impose (bière = 12 KN, chocolat = 8 KN).

Notre premier dîner sera du cassoulet, on en profite pour chauffer le van avant la nuit avec +11 °C a l’intérieur nous avons une amplitude de 20 ° avec l’extérieur ! Bonne nuit bien au chaud avec un réveil à 4 °C comme la veille !

31.12.2005 « Ascension du Risjnak et soirée Jet set »

Nous prenons le petit déjeuner à l’hôtel pour 30 KN afin d’avoir des force pour attaquer l’ascension du Veliki RISJNAK, le temps commence à changer avec du vent et des nuages. Au bout de 3h de montée on préfère s’arrêter car nous sommes encore loin du sommet. L’avancée se fait doucement dans la poudreuse, la marche est fatiguante et la neige commence à tomber… la descente se fait plus rapidement et nous décidons de profiter du reste de l’après midi pour gagner le Parc Naturel de PLITVICE et s’offrir un bon hôtel pour cette nuit de la saint Sylvestre.

Sur la route nous traversons le Vihovinsko Plotce (entre Otocac et le parc) qui est une vaste plaine en dépression abondamment miné ! Les panneaux nous indiquent de passer notre chemin. Nous arrivons au Parc à la nuit noire, le seul hôtel ouvert est le plus luxueux (le JEZERA) mais comme c’est le nouvel an, tout est permis (enfin presque !). Le parking est blindé de grosses cylindrées immatriculées à Zagreb !!! Heureusement il reste des chambres de libre à 600 KN. On nous propose également le forfait soirée du Nouvel an pour 1000 KN par personne !! Un peu cher pour passer une soirée à apprendre trois mots de croates ! D’autant que nous manquons de garde-robe adaptée (comment ? la parka en polaire et les rangeoss ne sont pas adaptés !). Ce soir sera une petite soirée intimiste avec jacuzzi et dîner dans notre chambre (délicieuses tagliatelles aux truffes). On se couche tôt pour profiter des cascades sous la neige au petit matin ! Pas de doutes ! On est les premiers couchés et les premiers levés !

01.01.2006 BONNE ANNEE «  un journée bien chargée… »

Après un solide petit déjeuner à l’hôtel nous tentons une première approche des lacs, peine perdue, les bateaux qui sont sensés nous baladés sont pris dans la neige, on nous indique la deuxième entrée à quelques kilomètres de là. Le tarif subit la même courbes que les températures, la neige a fait baisser le tarif de 2/3 nous payons 25 KN au lieu de 75 ! Peu importe nous parvenons jusqu’à la grande cascade (78 m) et nous frayons nos propres passages ailleurs… avec séchage de pantalon, de chaussettes et de chaussures indispensables à la fin !

A midi nous quittons le parc pour gagné l’île de Pag via le col de Ljubovo, Gospic, et le col de Ostarijka Vrata. Toute cette zone a été fortement touché par les bombardements, les villages sont complètement détruits et toujours inhabités. L’ambiance est un peu triste sous la grisaille. On atteint la côte mais le ciel n’est pas de la partie, dommage, la vue doit être splendide par beau temps, nous remontons la côte jusqu’à Gradina afin de prendre le ferry pour gagner Pag. Il n’y a pas foule, le bateau coûte environ 100 KN pour le van et 10 KN pour nous pour une traversée de 20 min environ, il y a environ 6 passages par jour.

Comme nous le prédisait le guide, l’île est très sèche avec une grosse population d’ovidés (qui fournissent leur lait pour le fameux fromage de Pag !). Les habitants ont monté de nombreux murets de pierre pour délimiter les parcelles, on n’a du mal à s’imaginer le temps que ça a pu prendre tant leur nombre est important, un vrai travail de fourmis ! La principale agglomération « PAG » est plutôt vide et manque d’animation… Du coup, on part à la recherche de notre campement du soir sous un ciel gris et menaçant. Après avoir déambuler le long des vieux marais salants, on décide de trouver une petite pointe fort jolie (en tout cas sur la carte !) mais la réalité dépasse notre carte, on se perd dans les chemins en terre (humide) tant et si bien qu’on fini par s’embourber ! C’est après 1h30 de patinage (histoire de s’enfoncer un peu plus !) sous la pluie qu’on fini par s’en sortir (remarquez, il était temps car si on continuait, on ne pouvait plus s’en sortir même avec notre superbe idée !). Et l’idée géniale est : tout simplement de mettre le cric pour soulever les roues avant et mettre des pierres dans les trous ! Facile me direz vous ! Mais encore fallait-il y penser !

Bref, on s’extirpe tant bien que mal de notre patouille et on file vers un petit port bien au sec (Ljubacki Stanovi) !

02.01.2006 « Split et le palais de l’empereur romain Dioclétien »

La pluie a cessé mais les nuages se courent toujours après ! On en profite pour nettoyer un peu le van qui a pris une teinte boueuse suite à notre activité nocturne ! Départ pour SPLIT par l’intérieur des terres, la route est peu avenante puisqu’on zigzaguent entre les nids de poules, les villages détruits et les panneaux « attention danger mines ». Toutefois une lueur de renouveau brille ! ils sont en train de réinstaller l’électricité.

Split est une grosse ville qui bouge ça nous change des routes désertes (et des champs de mines !), nous mangeons au restaurant SARAJEVO, c’est pas mal mais un peu cher = 120 KN/pers (comme tous les restaurants de Croatie). Arrivés sous la grisaille à Split, on prend le temps de déjeuner pour laisser au ciel le temps de se dégager, et c’est heureux ! la ville de l’Empereur romain Dioclétien est magnifique, l’architecture y est très bien conservé, une montée en haut du clocher permet une vision en 360° fort agréable (il suffit de payer 5 KN/pers au gardien de l’église).

On repart vers le sud en direction de PLOTCE le long du littoral, la route est splendide entre la chaîne de montagne qui tombe à pic dans la mer et les îles voisines (BRAC/HVAR/KORCULA). On monte dans les hauteurs (au dessus de MARKASKA) pour profiter du coucher de soleil sur la mer à l’ombre de Oliviers au bord d’une petite route, nuits calme mais très pluvieuse. Les locaux nous scrutent en passant mais on est toléré.

03.01.2006 « Dubrovnik »

Réveil en douceur, il fait 14°C dans le van et 8° dehors ! On se croirait presque aux Antilles, mais alors en saison des pluies ! Tant pis, on va se réfugier dans un supermarché entre le rayon jambon/saucisson et le rayon vin ! dur dur !

On repart pour PLOTCE, le seul moyen de rester en Croatie et ne pas passer la frontière bosniaque est de prendre le bateau de Plotce à korcula. Le prochain nous oblige à patienter plusieurs heure sous la pluie, tant pis, on passera pas la Bosnie-Herzégovine.

L’arrivée sur Dubrovnik se fait toujours sous la grisaille, on espère qu’après le déjeuner le soleil pointera son bout du nez ! Vœux exhaussé le temps de s’enfiler une plâtrée de nouilles aux moules (environ 45 KN/pers) ! On profite des rayons de soleil pour monter sur les remparts (50 KN/pers) et admirez la ville d’en haut, c’est magnifique et dire qu’un grand nombre de monuments ont du être reconstruits suite aux pilonnages des serbes ! Sacré travail car 10 ans après, on ne voit plus rien des restes de la guerre. Non seulement cette ville est très belle mais en plus ils ont le meilleur chocolat chaud de Croatie ! Que du Bonheur.

Au dessus de la ville se dresse une montagne qui domine les environs, on décide de monter pour y trouver une place pour dormir. C’est le coin des amoureux… alors ce soir, on dormira avec la vue sur Dubrovnik by night… Hum enfin la nuit fut courte puisque le vent s’est levé au point de nous faire déménager dans la nuit ! C’est-à-dire, qu’à 1 m d’une falaise de 150 m de haut avec un van qui sursautait à chaque rafale, je ne dormais pas sur mes deux oreilles ! On atterri donc 150 m plus haut à côté des radars croates ! Eux ! Au moins ! Nous laisserons finir notre nuit tranquillement. Petites surprises au matin avec les restes d’obus de mortier en pagaille à 10 m du van ! Les souvenirs de la guerre sont bien présents…

04.01.2006 « Korcula sous la grisaille »

Départ pour la presqu’île de Korcula via la presqu’île de Peljesac sous la grisaille. Nous arrivons 1h avant le départ du ferry entre Orepic et Korcula (à 11h30).

Korcula ressemble à un mini Dubrovnik avec une ambiante vénitienne encore plus forte, le plan de la ville en forme d’arêtes de poisson, n’est pas visible au premier coup d’œil… Mise à part nos habituels amis félins, peu de monde dans la ville… Nous déjeunons au restaurant Planjak (soit un des seul restaurant ouvert dans le coin). Pas vraiment la peine de demander la carte, il n’y a que du calamar ou du poisson. Ca tombe bien, c’est exactement ce que l’on voulait… pour environ 100KN/pers, on aura un bon plat de poisson à la dalmatienne.

Après s’être restauré, on part à la recherche d’un chambre chez l’habitant (200 KN), on passe par l’office du tourisme (SE de la ville) qui nous indique une maison à 200m de là avec vue sur le port et le continent. Nous sommes les premiers clients de l’année pour notre hôte… la douche est la bienvenue après plusieurs jours de van. Petite visite de Korcula puis nous poussons jusqu’à Lumbardi qui n’est pas plus animé que sa voisine ! Dîner pizza (près de la gare routière pour 40 KN/pers, bon mais très bruyant… (techno parade de Korcula ou presque !)

05.01.2006 « la journée mafioso ! »

Notre activité matinal sera la recherche de la fameuse huile d’olives de Vera Luka. Après avoir obtenu le nom du revendeur de notre hôte, nous parcourons les 50 km qui nous séparent de ce port perdu à l’autre bout de l’île. En demandant notre chemin, on nous indique un gros bâtiment qui abrite (entre autre !) le ministère des finances ! Un peu septique mais de bonne volonté nous commençons à monter les escaliers puis redemandons notre chemin, on nous amène dans un sombre couloir, devant une porte genre appartement ! la secrétaire nous ouvre et nous demande de repasser dans 15 min !

Euh oui ! D’accord ! Mais on veut juste un peu d’huile nous !!!

Bref on patiente, on revient, on se fait accueillir par le boss qui nous demande de parler en premier ! Hum ! C’est quoi ce foutoir… alors on lui baraguine trois mots en croates, bonjour, merci… mouaif ! Pas très concluant tout cela ! il nous demande comment on s’appelle (je vous rappelle que l’on est venu pour acheter 2-3 litres d’huile d’olives, aussi ses questions nous surprennent quelque peu !), il affirme à niko qu’on l’a appelé le mois dernier de Paris ! Ben peut être mais en tout cas ce n’est pas nous ! On fini pas dépatouiller le quiproquo :

Un mois avant des français l’ont appelé pour lui proposer de faire du commerce d’huile avec eux ! Du coup, il a cru qu’on venait pour ce business ! En plus avec le vito on pouvait faire penser qu’on était dispo à en ramener quelques mètres cubes !

Autant vous dire qu’il avait une tête déconfite lorsqu’il a fini par comprendre qu’on était que des simples touristes qui ne voulions que 3 litres d’huile ! Bon prince, il nous a accompagné jusqu’à sa boutique et nous a montré ses produits, on est reparti avec nos trois litres et une bonne histoire en poche !

Nous quittons l’île sous la grisaille avec le ferry en direction de SPLIT ( 470 KN pour le van et 77KN par personne), l’après midi (départ 12h45 arrivée 18h00) se passe en roulis et en partie de scrabble, nous passons entre les îles et faisons une escale à Starigrad.

Un fois sur le continent, nous quittons Split pour dormir à côté de Trogir sur l’île de Crovo, nous voilà au calme avec en bruit de fond le clapotis des vagues et en panorama, Split by night…

06.01.2006 « sur le chemin du retour »

Aujourd’hui, la route sera notre dominante. Nous remontons vers Zadar et cette fois le soleil. Nous pouvons enfin admiré le turquoise de l’eau dalmate même si la fraîcheur ambiante ne nous donne pas vraiment envie de nous baigner…Petite pause à Primosten, la photo s’impose pour concurrencer la couverture du Lonely planet ! (et oui, on a pu prendre exactement la même photo, les fleur en moins !)

On s’arrête déjeuner à Zadar, qui est la capitale régional de la sympathie pour Ante Gotovina (le Général Croate qui a libéré Zadar de la présence serbe). On voit des affiches de soutien dans chaque boutique, voir même plusieurs par boutique ! Recherché par le tribunal Pénal International pour crime de guerre, il a été arrêté en décembre 2005 en Espagne (cf info yahoo ici !). C’était une des conditions pour l’accession à la candidature à l’entrée dans l’union européenne. En tout cas, là bas, l’arrestation n’est pas très bien passé !

On poursuit notre route en faisant un petit crochet par le parc naturel de la KRKA. Les cascades sont très impressionnantes avec la crue de la rivière. La moitié du parcours est presque les pieds dans l’eau…Ambiance humide et glissante…

Nous repartons vers Rijeka en serpentant le long de la côte. Nous décidons de dormir sur l’île de KRK (prononcé Ker Ka plutôt que de cracher vos poumons en KKKRKRRRKKKK !). L’accès à l’île par le pont est payant 40 KN mais c’est pour l’aller/retour ! On trouve un petit parking près du village d’Omisalj, c’est très calme et la vue sur Rijeka el matin est sympa, il faut juste éviter de passer la tête de l’autre côté de la colline où un énorme complexe pétrolier trône ! bien sur on ne l’avait pas sur la carte !

07.01.2006

Nous repartons pour l’Italie en traversant le province de l’Istrie, beaucoup de collines et de villages perchés, quelques villégiatures côtière de style austro-hongroise, très sympathique (ça ressemble beaucoup à des grosses meringues mais ça a son charme). On a préféré le sud, mais fallait le voir pour le savoir !

Retour à Trieste, direction l’autoroute pour traverser le pays jusqu'à Gênes ou nous dormons dans les vallées montagneuses… demain retour en France.

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